- Editor: Vrin
- ISBN: 2-7116-1460-3
- Published: 25 juin, 2023
Théologie, mathématiques, de philosophie, de la science, de la technologie, de la médecine, aucun domaine échappa pas pour la détermination de l’humaniste Nicolas de Cuse (1401-1464), par laquelle on fête cette année les six an-cérémonie. Elle-même décrit mais savant tels que les « connaît son ignorance » (fr docta ignorantia) et les héros du poing Goethe lui semble même s’il n’existait humblement: « Je vois que l’on ne peut rien savoir ». En ce qui concerne l’idée de l’Cusain, elle est encore aujourd’hui? Avec ce sens aigu pour les frontières de la connaissance humaine, ainsi que leur clairement l’ouvrage de J.-M. Counet, un précurseur de l’approche moderne du problème de la finitude et son rapport sur le général. Grâce aussi à sa préférence pour les mathématiques : en principe pas de contradiction, à la base de la philosophie aristotélicienne, Nicolas de Cuse préféra à savoir l’interconnexion platonicienne de la dialectique et des mathématiques nous permet l’infinité de Dieu en tant que « contre » de cumul de l’autre mot clé dans sa philosophie. Mais les mathématiques, de ne pas donner de nous rapprocher de Dieu et qui est à l’image, de ne pas couvrir entièrement. Ces théologie négative n’est pas sombre, à condition que n’est pas dans la négation de la théologie mais conçoit l’absolue altérité de Dieu en ce qui concerne l’excès dans la vie donné fini qu’il comprend.